La rue est un endroit propice à l’observation, c’est là que tout se passe… Vivian Maier privilégie les quartiers ouvriers des villes où elle réside. New York en 1951, puis Chicago en 1956 oû elle s’étendra en 2009.
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J’adore la façon que tu as de « poser ton regard sur « . Juste bravo : du bonheur pour moi !